Les cadrans solaires ont toujours communiqué l’heure grâce à une seule aiguille, qui n’était en fait qu’une ombre se déplaçant sur une surface graduée. Il aura fallu attendre le milieu de XIIIème siècle pour voir apparaitre sur les cadrans de nos montres la seconde aiguille des minutes, puis plus tard, celle des secondes.
Pour quoi faire ? S’interrogera en 2001 Manfred Brassler, fondateur de la Maison MeisterSinger. Sur les garde-temps contemporains, chaque seconde semble s’écouler plus rapidement que la précédente, et lire l’heure devient parfois un acte anxiogène nous faisant miroiter une rareté continue du temps.
En remontant aux origines de l’horlogerie – avec des monoaiguilles qui ont fait leur notoriété, les montres MeisterSinger nous rappellent que le temps passe souvent, bien plus lentement qu’il n’y paraît…
Voici le seul résultat
Les cadrans solaires ont toujours communiqué l’heure grâce à une seule aiguille, qui n’était en fait qu’une ombre se déplaçant sur une surface graduée. Il aura fallu attendre le milieu de XIIIème siècle pour voir apparaitre sur les cadrans de nos montres la seconde aiguille des minutes, puis plus tard, celle des secondes.
Pour quoi faire ? S’interrogera en 2001 Manfred Brassler, fondateur de la Maison MeisterSinger. Sur les garde-temps contemporains, chaque seconde semble s’écouler plus rapidement que la précédente, et lire l’heure devient parfois un acte anxiogène nous faisant miroiter une rareté continue du temps.
En remontant aux origines de l’horlogerie – avec des monoaiguilles qui ont fait leur notoriété, les montres MeisterSinger nous rappellent que le temps passe souvent, bien plus lentement qu’il n’y paraît…